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Rouille de la pruche et du bleuet

Distribution

Dommages, symptômes et biologie

Les dommages aux deux hôtes sont négligeables et localisés aux endroits où la régénération de pruche croît entremêlée à des airelles et à des bleuets.

Autres informations

Jusqu’à tout récemment, cette rouille était considérée comme appartenant au genre Pucciniastrum. Cependant, compte tenu de la structure unique de ses écies, on l’a incluse dans le genre Naohidemyces. Une autre rouille des aiguilles, Melampsora epitea, qui s’attaque aussi à la pruche, peut être confondue avec N. vaccinii. Les écies de M. epitea sont « libres » sans péridium couvrant les éciospores, tandis que celles de N. vaccinii sont pourvues d’une couverture en forme de dôme percée au centre d’un trou (ostiole) par lequel les spores sont libérées.

Publications du Service canadien des forêts

Rouille de la pruche et du bleuet

Informations sur les hôtes

Hôte(s) principal(aux)

Photos

Éciospores échinulées de <em>N. vaccinii</em> et écies en forme de dôme
Urédiospores échinulées
Altération de couleur d’aiguilles de pruche infectées par <em>Naohidemyces vaccinii</em>
Altération de couleur d’aiguilles de pruche infectées par <em>Naohidemyces vaccinii</em> (dessus des aiguilles)
Altération de couleur d’aiguilles de pruche infectées par <em>Naohidemyces vaccinii</em> (dessous des aiguilles)
Écies sur le dessous des aiguilles de pruche
Urédies sur <em>Vaccinium</em> (bleuet)